• Paris Rastaquouère

    A la différence des cimaises des musées, les peintures sur les murs des villes s'inscrivent autant dans l'espace que dans le temps. JF Vilar a souvent parlé d'art urbain (graffiti, pochoirs...). L'art des rues parisiennes des années 80. Nous parlerons peinture un de ces jours.

    Lundi 7 mars 2011, au matin. Un grand mur peint, au niveau du 16-18 rue des Pyrénées, près de Nation. Moi Corsaire Sanglot je m'arrête, je pose mon vélo contre le mur. Photo.

    Bibliothèque

    Dans les aventures de Victor, il y a la musique qu'il écoute chez lui (disques, cassettes), et celle qui passe dans les cafés, dans les juke-boxes (c'était un temps où il y avait des juke-boxes dans les cafés, pas du sport sur des grands écrans plats !). Nous parlerons musique un de ces jours.

    Gainsbourg est cité en 3 occasions. Dans Paris d'octobre il est question un matin (le 10 octobre 1985) du dynamitage pendant la nuit de la façade du Casino de Paris où il doit donner un concert ("Rue de Clichy, Gainsbourg hausse les épaules, jette son mégot de Gitane, l'écrase soigneusement au milieu des gravats de marbre..."). Les paras et les fachos n'aimaient pas à ce moment-là sa version rastaquouère de la marseillaise.

    Et puis... en janvier 1985, dans En rade, Victor entend un Gainsbourg dans le juke-box d'un rade de la rue du Faubourg du Temple. Neuf mois plus tard, dans Paris d'octobre, c'est le même morceau que Lady l'Arsouille sélectionne dans un autre juke-box, cette fois dans un café du 9ème. Musique.

     


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